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8 décembre 2011 4 08 /12 /décembre /2011 22:16

Titre : Je manque d'assurance

Auteur : Agnès Desarthe

Edition : École des loisirs  1997   Je-manque-dassurance

Collection : Medium

Genre : C'est un roman d'aventures, récit d'apprentissage avec de l'humour.

Thème principal : L'apprentissage de la patience, la volonté de réussir.

Résumé : C’est l'histoire de Louis Dersuelles un élève de quatrième qui habite à Paris. Ses parents sont divorcés. Il dépense les 120 francs que sa mère lui a donnés pour payer l'assurance scolaire en places de cinéma ; il ne le dira pas à ses parents. Louis va tout faire pour récupérer cette somme d'argent; il en viendra même à faire du soutien scolaire avec une certaine Alice en CM1 : Louis ira la voir le Vendredi à 17h et sera accueilli par sa sœur ainée. Il deviendra l’ami puis l’amoureux de Sandra Tournachère, une élève de sa classe, que tout le monde déteste.Mais Louis arrivera t-il à obtenir les 120 francs qu’il a perdus ?

 Passage remarquable du livre :

 « Je suis passé devant la télé avec un regard méprisant et je me suis enfermé dans ma chambre. C'était un petit pas pour l'humanité et un grand pas pour l'homme. Dans le tiroir de mon bureau, j'ai pris une feuille et, renonçant définitivement à analyser les patatoïdes parentaux, je me suis concentré sur le calcul de ma propre existence. 120 francs, ai-je écrit en haut de la page. Comment se procurer 120 francs? ai-je ajouté en dessous. »

 

 A partir de là, Louis cherche une solution à son problème qui est qu'il lui faut 120 francs pour payer l'assurance scolaire.

Commentaires : J'ai aimé lire ce livre ! Je le conseille à ceux qui aiment les livres d'aventure et d'humour. Il montre la volonté qu'on doit avoir quand on veut quelque chose.   

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21 novembre 2011 1 21 /11 /novembre /2011 22:21

Titre : L’épée des puissants

Auteur : Pierre Davy, Gilles Scheid9782092520840.jpg

Édition : Nathan

Genre : roman historique

Thème principal : La vie d'un homme au Moyen-âge au temps des croisades

 

Le sujet :

           Constantinople, mille quatre-vingt dix-sept. Mathieu Boveret est un serf fugitif. Il est parti sur le chemin des croisades, il a combattu vaillamment contre les infidèles aux côtés de Thibault de Cercy. Ce dernier, avant de mourir, lui a offert son prénom, son titre et puis sa quête: Mathieu, devient Thibault, chevalier. D'autres nobles se joignent à la marche vers Jérusalem: ça s’appelle la croisade des barons ! Thibault doit désormais s'accaparer de son nouveau destin : celui de seigneur et de soldat. Mais il est toujours amoureux de Madeleine, une jeune bergère aux yeux verts croisée sur les routes lorsqu'il  n'était qu'un brigand. Son courage lui vaut de devenir l’écuyer de Thibault de Cercy...

 

Extrait choisi, page sept                             

         « Hiver  mille quatre-vingt dix-sept, Mathieu Boveret est un serf fugitif. Le hasard l'oblige à s'enrôler dans une troupe de brigands commandés par Thibault de Cercy, un chevalier déchu marqué d'une cicatrice en forme de croix à la joue gauche. Il se lie d'amitié avec le borgne, ancien bûcheron devenu bandit.

             Le pape Urbain il tente de convaincre les grands seigneurs chrétiens d'aller délivrer Jérusalem des mahométans. Pierre l'Ermite et d'autres moines prêcheurs persuadent une multitude de pauvres gens de se lancer dans l'aventure. Aussi, confiant dans la promesse que tous leurs crimes leur seront ainsi pardonnés, les brigands de Cercy se font pèlerins. Pendant le long et périlleux trajet qui mène vers Constantinople, Mathieu apprend beaucoup de Tersissius, un vieux moine qui a déjà fait le pèlerinage de Jérusalem. Il tombe amoureux  de Madeleine, une jeune bergère  aux yeux verts, et son courage lui vaut de devenir l'écuyer de Thibault de Cercy. »

 

J'ai choisi ce passage car il me plaisait, il présente les personnages et il dit en quelle année ça c'est passe : En 1097. Il présente la situation initiale.


Jugement critique personnel :  

J'ai choisi ce livre car j'aime bien les livres d'histoire du Moyen-âge. Ça montre comment étaient les croisades à l'époque des chevaliers et je n'avais jamais pris un livre qui parle du thème des croisades. Et les batailles sont incroyables, il ya du sang et des morts.

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18 novembre 2011 5 18 /11 /novembre /2011 14:40

Un tueur à la fenêtre de Stéphane Daniel (Rageot.-Heure noire 2007)

Lundi, 19 heures, Cité des Mimosas. Max s'écroule, mortellement touché, sous les yeux de son ami Lucas. Un résident, excédé par le bruit, aurait tiré. Lucas ne croit pas à cette version et, malgré son chagrin, il va tout faire pour découvrir la vérité.

V. Nédélec, documentaliste

******************************************************************************

Auteur : Stéphane Daniel

Titre : Un tueur à la fenêtre

Collection : Heure Noire9782700223675FS.gif

Illustrateur de couverture : François Baranger

Genre : Roman policier

Max et Lucas se promènent dans la ville par une journée de canicule. Max aperçoit de l’autre côté de la rue ses copains en scooter. Il les rejoint et se fait tuer d’une balle. Lucas rencontre alors une journaliste, celle qui a écrit l’article sur la mort de Max. Il rentre ensuite chez lui et aperçoit une lettre tapée à la machine qui lui dit : « ne dis pas un mot aux flics ».Il décide alors d’aller voir le copain de Max pour voir s’il connaissait quelqu’un qui aurait pu vouloir tuer Max. Il ne connaissait personne. Il apprend alors que l’auteur du crime s’est suicidé juste après avoir tiré. Cela lui semble bizarre étant donné qu’il était tout près de l’immeuble d’où on a tiré et qu’il n’a entendu qu’un seul coup de feu. Il va chez le commissaire qui lui apprend qu’il était sans doute la cible. Il va au lycée, et trouve encore une lettre qui lui dit cette fois de ne pas dire un mot non plus à la journaliste, sinon elle aussi serait tuée. Il va quand même lui parler et le tueur la blesse. Il va la voir à l’hôpital, et se dit qu’il va devoir retrouver le criminel au plus vite. Il se rend compte quelques jours plus tard qu’il a oublié de lui demander un renseignement, et on lui apprend alors que son frère l’a sortie de l’hôpital. Or, elle n’a pas de frère. Il va donc la retrouver et se fait capturer par le tueur, qui était au final un faux vigile soit-disant placé devant l’immeuble des copains de Max pour les surveiller. Il arrive quand même à le faire arrêter par la police.

Lucas est un adolescent de dix-sept ans qui doit découvrir comment et qui a tué Max, son meilleur ami. Il s’emporte facilement, est très nerveux. Il connaît les copains de Max et sait qu’ils ne sont pas forcément sympathiques. Il va devoir faire face à une journaliste agressive, un tueur sans pitié et des policiers pas très aidants. C’est lui qui était visé par le tueur, mais il ne se fait pas forcément bien protégé.  Il va  essayer de le retrouver, car il reçoit des lettres lui disant de ne rien dire à personne. Il finit par vaincre le tueur, car ce garçon est très persévérant et ne se sent pas rassuré de savoir qu’il était la cible.

« La barre en face lui offre le spectacle de ses orbites mortes. Par centaines, des fenêtres percent la façade lépreuse. La réfection n’est pas encore prévue, on attend que les murs s’écroulent pour engager les travaux indispensables. Le scooter redémarre derrière lui, les mobylettes assurent la stéréo. Lucas aperçoit une minuscule fumée à l’une des fenêtres en étages : sans doute un gamin qui fait exploser un pétard.                                                                                                                   

Lucas se retourne. Chérif fixe un point par terre, les yeux écarquillés, sa bouche s’arrondit :

-Merde…

Il part à reculons. Lucas s’en désintéresse. Max est  allongé par terre, son  bras est tordu sur le sol, ses yeux grands ouverts ne regardent plus rien. Sur sa nuque, ses cheveux sont collés de rouge. Du sang coule sur ses épaules. Dans la poitrine de Lucas, quelque chose se met à hurler. » (pages 15 et 16)

J’ai choisi ce passage car c’est à partir de ce moment que tout bascule : la belle journée d’été se transforme en journée de cauchemar, Lucas perd son meilleur ami. C’est le début d’une suite de péripéties et de questions sans réponses auxquelles Lucas va essayer de répondre tout au long de son aventure.

L’illustration de couverture représente un fusil et un homme à demi caché par l’ombre en train de tirer. Cette image représente l’élément perturbateur et le titre du livre. On voit tout de suite à quoi s’attendre.

J’ai aimé ce livre car il y a tout le temps de l’action, le personnage principal est très touché par la disparition de son meilleur ami. Le tueur apparait seulement à la fin mais il se signale par les lettres à Lucas pendant toute l’histoire. L’intrigue est originale car on ne s’attend pas du tout à voir le tueur envoyer des lettres à sa cible initiale et à se faire passer pour le frère de la journaliste pour attirer Lucas dans un piège.

Raphaël 4A, décembre 2015

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5 juillet 2011 2 05 /07 /juillet /2011 17:28

moderato_cantabile_3632.jpgCe roman ne date certes pas de la dernière pluie puisqu'il a été publié en 1958 mais je viens de le relire pour les besoins du travail et, stupeur, il a conservé toute la fraîcheur d'une pluie d'été justement. Comme toujours avec Duras qui ne rate jamais son affaire, je suis encore sous le charme, subjuguée par le je-ne-sais-quoi des romans de Marguerite Duras.

Moderato Cantabile c'est l'histoire d'une sonatine de Diabelli encore et encore répétée, de la sirène hurlante de l'arsenal, d'une villa au bord de la mer, d'un arsenal, d'un café, d'une fleur de magnolia qui n'en finit pas de fleurir puis de faner, d'un cri de femme, du rose de journées finissantes, du rouge du crépuscule, du vin qui empoisonne, du sang d'un crime passionnel et du tricot d'une patronne de café, ,... toujours les mêmes comme une obsession lancinante qu'il s'agit pourtant de faire aboutir.

Entre Anne Desbaresde, l'épouse oisive du directeur d'Import-Export et des Fonderies de la Côte et Chauvin ancien ouvrier des Fonderies, il y a un monde et pourtant :


"Le service de canard à l'orange commence. Les femmes se servent. On les choisit belles et fortes, elles feront front à tant de chère. De doux murmures montent de leur gorges à la vue du canard d'or. L'une d'elle défaille à sa vue. Sa bouche est désséchée par d'autre faim que rien non plus ne peut apaiser qu'à peine, le vin. Une chanson lui revient, entendue dans l'après-midi dans un café du port, qu'elle ne peut pas chanter. Le corps de l'homme sur la plage est toujours solitaire. Sa bouche est restée entrouverte sur le nom prononcé.

_ Non merci.

Sur les paupières fermées de l'homme, rien ne se pose que le vent et, par vagues impalpables et puissantes, l'odeur du magnolia, suivant les fluctuations de ce vent.

Anne Desbaresde vient de refuser de se servir. Le plat reste cependant encore devant elle, un temps très court, mais celui du scandale."



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28 février 2009 6 28 /02 /février /2009 12:01

J'ai bien aimé c
e livre : il y a des aventures et un peu de tistesse car Charlotte et son père doivent partir d'Ethiopie à cause de la guerre civile, en 1982. Elle est obligée de quitter son cheval. Tamarth, un jeune garçon, refuse d'être enrôlé dans l'armée éthiopienne. Le jeune garçon entame une longue marche à travers le pays avec le cheval.

Donc c'est assez triste comme livre mais je l'ai bien aimé.
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26 février 2009 4 26 /02 /février /2009 20:27



C'est l'histoire d'une jeune fille de treize ans, Mathilde, qui a beaucoup de mal à s'exprimer dans sa famille. Un soir, elle décide de fuguer. Pendant sa fugue, elle rencontre Loïc ...

J'ai bien aimé ce livre car on a l'impression d'être dans l'histoire, c'est Mathilde qui la raconte , elle parle en employant le pronom ''je''on a ainsi l'impression d'être à la place de Mathilde. Cette histoire se passe dans une ville, et elle pourrait être réelle.
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26 février 2009 4 26 /02 /février /2009 18:44
Auteur : Nathalie Daladier
Illustration : Gilbert Maurel
Editeur : Gallimard Jeunesse
Date de parution : septembre 2000
Collection : Folio Junior Drôles D'aventures
Nombre de pages 96

Genre : roman et documentaire



C'est l'histoire d'un pétrolier nommé Erika (1) qui coule près de Belle Ile où vit la famille d'Elie. Elie et son copain Guillaume vont voir si les poissons ont résisté à la marée ...







(1)
L’Erika, un pétrolier battant pavillon maltais (pavillon de complaisance) construit en 1975 et affrété par la société Total-Fina-Elf, a fait naufrage le 12 décembre 1999 au large de la Bretagne, lors d'un transport de 37 000 tonnes de fuel lourd en provenance de Dunkerque et à destination de Livourne (Italie). La catastrophe écologique s'est étendue sur plus de 400 km de côtes.


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12 janvier 2009 1 12 /01 /janvier /2009 20:12

C'est l'histoire d'un géant qui n'est pas pareil que les autres géants. Il souffle des rêves le soir aux enfants mais les autres géants, la nuit, mangent des hommes.
Un jour le bon gros géant (le BGG) partit dans un pays pour souffler des rêves aux enfants


mais une petite fille nommée Sophie avait remarqué le BGG et le bon gros géant l'embarqua...
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10 janvier 2009 6 10 /01 /janvier /2009 15:14
Titre : Les Croix de bois
Auteur: Roland Dorgelès

Les croix de bois nous raconte la vie, les péripéties de l'existence des poilus pendant la guerre 14-18 : Le front, l'arrière, les batailles, les combats, les bombardements, la camaraderie, la mort, les blessés...

Le livre est écrit à la première personne du singulier sans pour autant que le narrateur Jacques Larcher ne soit le protagoniste. Il est aussi écrit en langage très familier quand les soldats se parlent entre eux .


Roland Dorgelès,engagé volontaire pendant la guerre, nous témoigne de son vécu durant cette guerre à travers ce roman-témoignage.


texte de Quatrième de couverture
Les Croix de bois, chef-d'oeuvre de Roland Dorgelès, engagé volontaire, est un témoignage exceptionnel sur la Grande Guerre. Avec un réalisme parfois terrible mais toujours d'une généreuse humanité, la vie des tranchées nous est décrite dans toute son horreur et aussi sa bouffonnerie, son quotidien et ses moments exceptionnels.



Le livre peut être lu en ligne en cliquant ici mais en Europe, il reste soumis aux droits d'auteur. Il est diponible au CDI en plusieurs exemplaires.


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20 décembre 2008 6 20 /12 /décembre /2008 21:04
Titre : Une année en gris et bleu
Auteur : Anne-Marie Desplat-Duc
Editeur : Bayard
Collection: Coeur grenadine

Mélanie entre en quatrième et aucune de ses amies n'est dans sa classe. Réussira-t-elle à se faire d'autres amies ?
Un roman plein d'histoires que j'ai beaucoup apprécié, une héroïne qui ne se trouve pas belle et dont les parents ont des problèmes.
Tout le monde peut lire ce livre, il suffit de lire le premier chapitre et on entre dans l'histoire. Il n'y a pas de difficultés de lecture.
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