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18 juillet 2018 3 18 /07 /juillet /2018 18:09

Voilà un roman qui vous tient en haleine ! "Véritable western sibérien" (L'Obs) ou "puissant

récit d'aventures métaphysique" (L'Express ) il fait de vous les témoins d'une chasse à l'homme qui se révèle soudain chasse à la femme par cinq militaires soviétiques sommés de capturer vivant(e) l'ennemi public incarné par un (e) fuyard(e) plein(e) de malice et d'ingéniosité dans la taïga sibérienne.

Le commandant Boutov, le capitaine Louskass, Ratinsky, Mark Vassine, et son chien Almaz et Pavel Gartsev composent l'unité chargée de l'opération.

Deux seulement ont un prénom dans cette liste, ce sont deux hommes sans grade et sans ambition, du moins, pour ce qui concerne Pavel, sans autre ambition que s'en sortir, d'abord, en écoutant son "pantin de chiffon" intérieur qui le pousse à la couardise et au compromis. Vassine, lui, a déjà beaucoup appris de la vie et se montre plus philosophe. Ces deux personnages qui se distinguent donc déjà par leur prénom,  acquièrent au fil du récit une fonction bien plus intéressante que celle que l'armée leur avait attribuée : Pavel cesse en effet de se laisser gouverner par son "pantin de chiffon" pour enfin choisir de vivre et il se retire sur une ile quasi inatteignable, l'île Belitchi de l'archipel des Chantars avec celle qu'il avait longtemps poursuivie et qui, elle, a seulement un prénom, Elkar.

Vassine meurt pour permettre à Pavel de réussir son projet mais il meurt satisfait de savoir que Pavel a épargné la vie de la fugitive. Vassine a perdu femme et enfant alors même qu'ils étaient embarqués dans le cadre de l'évacuation des civils lors du siège de Leningrad par le lac Ladoga : un bombardement avait brisé la glace et le camion qui les transportait est tombé dans le lac. Depuis, Vassine ne vivait que pour revoir sa femme, en l'imaginant.

Vassine est un personnage que je trouve très proche de Camus. Ainsi, lorsque p 138 il raconte à Pavel ce qui le pousse à épargner la fugitive, il se révolte :

"Dans le camp, j’ai rencontré un prêtre, un prisonnier lui aussi. Il me parlait de Dieu qui nous aimait, de la lumière au plus profond de l’abîme… Il était dans son rôle. Je ne répliquais pas. À quoi bon ? Puisque, avant et après la mort de ces enfants, on n’a jamais arrêté de tuer, de brûler et… de baîller ! L’apparatchik qui m’a reçu était plus sincère que le prêtre, il ne vantait pas la lumière de Dieu… »
Il s’interrompit, opinant doucement à ses pensées. Puis tendant son bras vers la forêt, chuchota : « Regarde, Pavel ! C’est cela la lumière dans les ténèbres. Nos feux, allumés pour tromper cette femme. Oui, ruser, mentir, frapper, vaincre. La vie humaine. Un gamin s'étonnerait : pourquoi tout cela ? Dans cette belle taïga, sous ce ciel plein d’étoiles. L’adulte ne s’étonne pas, il trouve une explication : la guerre, les ennemis du peuple... Et quand ça devient vraiment invivable, il te parle de Dieu, de l’espérance ! Les enfants qui se noient sous la glace, qu’est-ce qu’ils ont à faire de cette lumière divine ?
»

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26 novembre 2017 7 26 /11 /novembre /2017 14:05

Depuis L'Herbe des nuits que j'avais présenté ici en 2013, je n'avais pas eu l'occasion de me

remettre dans l'univers si particulier de Modiano.

Mettez Paris, quelques livres, quelques femmes, quelques souvenirs, quelques rêves dans un flacon et secouez comme on le fait avec une boule à neige et vous retrouvez le monde de Modiano. Enfin presque ! en réalité vous n'en aurez qu'une représentation approximative mais pas la quintessence.

Dans Souvenirs dormants, il me semble qu'on l’atteint un peu : Paris est là bien sûr, mais c'est surtout  des noms de rues, de quartiers, de lignes de métro qui constituent autant des mélodies, des refrains que des images fugitives d'un Paris au mois d'août où on s'étonne à peine de retrouver une femme connue autrefois, réfugiée au fond d'un restaurant d'un autre temps nommée "La Passée", vêtue d'un manteau de fourrure. Dans ce Paris on croise et recroise des femmes dont on ne connaît pas grand chose. Des intrigues multiples commencent mais ne connaissent jamais de développement menant à une résolution. Le narrateur intradiégétique écoute, observe, parfois intervient dans l'histoire de ces femmes avec lesquelles il se montre attentif, empathique sans qu'on puisse bien identifier ce qui les lie. Tout cela est dit sur un rythme lent, comme égrené, entrecoupé de multiples silences que matérialisent les blancs entre les très nombreux chapitres de ce roman.

En somme, lire Souvenirs dormants, c'est un peu comme traverser un rêve où des lambeaux du réels se croisent et se perdent de vue sans que cela soit inquiétant. D'ailleurs, où est le réel et où est le rêve ?

"Je me demande si le souvenir lointain et confus d'un après-midi d'été passé à Saint-Maur ne m'a pas fait écrire, quarante-six ans plus tard, dans un cahier, à la date du 26 décembre 2011, ces quelques lignes :

Rêve. Je suis en présence d'un commissaire de police qui me tend une convocation sur du papier jauni. La première phrase évoque un crime sur lequel je dois témoigner." (p.95)

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7 décembre 2016 3 07 /12 /décembre /2016 22:04

J’observe : C’est Guy de Maupassant qui a écrit cette œuvre. Il l’a écrite au XIXème siècle sous la IIIème  République. À l’origine, ce texte a été écrit en Français et c’est une nouvelle.

Je comprends : c’est un monsieur qui s’appelle Mr Sacrement et qui depuis tout petit rêve d’être décoré de la légion d’honneur. Il est énervé quand il croise des gens qui le sont. Il veut ensuite devenir officier académique mais il n’a aucun diplôme alors il demande de l’aide à son ami qui est député. Après ceci on lui donne la mission de faire des recherches dans différentes bibliothèques de France. Cette mission lui permet ensuite de décrocher le titre de chevalier dans la légion d’honneur.

L’histoire se passe à Paris au XIXème siècle.

Le personnage principal s’appelle Mr Sacrement. Il veut être décoré donc il essaye de rentrer dans la fonction publique. Enfin il y a aussi sa femme, Mme Sacrement qu’il a épousée car elle a de l’argent.

Je réagis : Je suis indifférent par rapport à cette histoire car je ne l’ai pas tellement aimée, mais je l’ai trouvée intéressante.

Enzo, 4B

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30 novembre 2016 3 30 /11 /novembre /2016 19:26

Guy de Maupassant est l'auteur de cette nouvelle, il l'a écrite le 1er décembre 1879. Cette époque n'est pas particulière, il a aussi écrit «Aux champs»

Les personnages principaux sont Simon et Philippe Remy. Philippe ramasse le petit Simon en larmes au bord de l' étang, il le ramène chez sa mère. Cela se passe chez Simon .

Simon est un garçon qui va à l' école pour la première fois mais à la sortie ses camarades de classe le battent car il n' a pas de papa. Il va alors à la rivière pour se noyer. Heureusement Philippe Remy le forgeron le ramène chez sa mère. Ensuite Simon demande à  Philippe de devenir son père et celui-ci accepte puis demande la mère du petit garçon en mariage. Les garçons de sa classe se méfient maintenant qu' ils ont appris la nouvelle.

J' ai de la pitié pour le garçon qui est harcelé. J’ai compris ce texte et l’histoire me révolte. De la même manière, lorsque l' on perd un proche, on a plutôt besoin de quelqu'un qui nous aide à surmonter la douleur.

Ce texte est destiné aux collégiens et à tous les lecteurs, il veut nous dire d'arrêter le harcèlement contre ceux qui n'ont pas de père, l'auteur nous émeut en nous touchant et nous affecte. Ses intentions sont faciles à percevoir car il insiste à plusieurs reprises : « démentir cette chose affreuse qu' il n' avait pas de papa.»

Edern, 4B

J’observe :

C’est Guy de Maupassant l’auteur de ce texte. Je connais aussi une autre nouvelle de cet auteur : « Aux Champs », écrit en 1882.

Cette nouvelle a été écrite en 1879. Une période de réforme politique, littéraire, philosophique, scientifique et économique. C’est aussi l’année de mort de Napoléon Bonaparte. Ce texte a bien été écrit en français à l’origine. Ce texte est une nouvelle.

 Je lis/j’écoute :

Je pense à un petit garçon qui court dans les champs en été. Je ne pense pas à des souvenirs, à des expériences personnelles. Je ne pense pas à des livres, des tableaux, des photos, de la musique  ... Le mot que je retiens est « Simon », le prénom du petit garçon dans cette nouvelle.

Je comprends :

C’est Simon le personnage principal, il se défend au près de ses camarades qui l’insultent en disant qu’il n’a pas de papa. Lui veut se noyer car ils se moquent de lui. Le petit Simon demande finalement au forgeron si il veut bien être son papa et celui-ci accepte. Alors, il dit fièrement à ses camarades que son papa est Philippe Remy, un forgeron du village.

L’action se passe surtout à l’école, à la rentrée.

Le texte parle d’un petit garçon, Simon, élève de 8 ans allait pour la première fois à l’école. Ses camarades étaient méchants avec lui car il n’avait pas de papa. Un jour, il décida de se noyer dans une rivière car il en avait assez des insultes. Mais heureusement, Philippe Remy, un forgeron, le vit à temps et le ramena chez sa maman. Ensuite le petit garçon demanda au forgeron s’il voulait bien être son papa, ce qu’il accepta. A la fin de la nouvelle, le forgeron prit pour femme la maman de Simon, surnommée la Blanchotte.

Je réagis :

J’ai bien aimé cette nouvelle, je l’ai trouvée intéressante. Je l’ai comprise facilement. Je suis d’accord avec l’auteur qui dénonce ceux qui maltraitent Simon.

J’interprète :

Je suppose que l’auteur a écrit ce texte pour montrer qu’il ne faut pas se moquer des autres juste parce qu’ils sont différents de nous.Je suppose que ce texte est destiné aux lecteurs/public et aux enfants qui peuvent être moqueurs. Dans cette nouvelle, l’auteur sensibilise le lecteur. Ses intentions sont faciles à percevoir. Nous ne pouvons pas hésiter sur le sens du texte de cette nouvelle.

Juliette, 4B

J’observe :

 Guy de Maupassant a écrit  « Le papa de Simon ». Il a aussi écrit «  Aux champs ». Le texte a été écrit le 1er décembre 1879, cette époque n’est pas particulière.  Ce texte est écrit en français, c’est une nouvelle.

Je lis / J’écoute :

Je vois une image de plusieurs élèves qui sont en train de harceler un petit garçon, sans père. Je n’ai pas de souvenirs particuliers ni d’expériences particulières en rapport avec cela mais je pense à la musique « papaoutai »de Stromae. Les mots que je retiens sont « pas de papa ».

Je comprends :

 Les personnages principaux sont Simon et  Philippe Remy le forgeron. Philippe récupère au bord de l’étang, Simon en pleurs. Il  le ramène à sa mère. Philippe devient alors le père de Simon. Cela se passe chez Simon, à la fin de l’histoire.

Résumé :

Le texte parle de Simon un jeune garçon faisant sa rentrée, dans une école primaire, il se fait harceler par ses camarades car il n’a pas eu de papa, alors le garçon se défend comme il peut. Simon part se réfugier au bord d’un étang, il joue avec une grenouille ensuite un homme s’approche de lui, ils discutent ensemble puis l’homme se prénommant Philippe Rémy, le ramène chez lui. Alors Simon demande à Philippe de devenir son papa. Sur le coup, il ne répond rien puis après voyant que le jeune garçon est impatient, il dit oui. Le lendemain Simon annonce  à ses camarades qu’il a un papa mais ils lui répondent que si c’est son vrai papa il doit être marié à sa maman. Alors Simon va voir Philippe pour lui demander. Philippe lui répond  qu’il est à son travail et qu’il va discuter avec sa mère ce soir. Le soir même, Philippe et Blanchotte, la mère de Simon, discutent  puis s’embrassent. Philippe lui demande de devenir sa femme. Il dit à Simon qu’il le protégera de tous harcèlements. Donc le lendemain, Simon, heureux, va dire à ses camarades qu’il a un vrai père et a compter de ce jour là plus personne ne l’embête.

Je réagis :

J’éprouve des émotions de tristesse face à ce texte. J’ai compris le texte et je ne suis pas d’accord avec le harcèlement.

J’interprète :

Ce texte est destiné aux collégiens, l’auteur veut nous dire d’arrêter le harcèlement au collège. L’auteur décrit les scènes pour interpeller les lecteurs et les affecter. Ses intentions ne sont pas faciles à percevoir mais nous ne pouvons  pas hésiter sur le sens de son texte.

Camille, 4B

« Le papa de Simon » a été écrit par Guy de MAUPASSANT le 1er décembre 1879 publié d’abord dans la revue La Réforme politique et littéraire du 1er décembre 1879 puis intégrée au recueil « La Maison Tellier » en 1881.

J’ai étudié la biographie de Guy de MAUPASSANT :

Il est né le 5 août 1850 près de Dieppe et meurt en le 6 juillet 1893.

Maupassant, écrivain naturaliste de référence, vécut son enfance en Normandie, seul avec son frère, sa mère et Gustave Flaubert, ami d'enfance de cette dernière. En effet, suite à de violentes disputes entre ses parents, le père quitta à jamais la maison. Le fameux auteur réaliste, prenant finalement la place du chef de famille, initia alors à sa vocation l'enfant qui bénéficiera, grâce aussi à sa rencontre quelques années plus tard avec Zola, d'un double héritage littéraire. Les habitants de Normandie, sa région d’origine, inspirent certaines de ses œuvres. Soutenu et conseillé par Flaubert, dont il est le disciple, Maupassant rencontre les principaux écrivains du XIXe siècle, dont Émile Zola. Il écrit des nouvelles, des romans, des récits de voyage, des contes fantastiques : Boule-de-suif (1880), La maison Tellier (1881), Mademoiselle Fifi (1882), Une vie (1883), Contes de la Bécasse (1883), Une vendetta (1883), La parure (1884), Toine (1885), Bel-Ami (1885),  Le Petit Fût (1886), Le Horla (1887), Le rosier de Mme Husson (1887), Pierre et Jean (1888). Je connais les œuvres suivantes : « Bel-ami », « Pierre et Jean », et celles présentées dans la collection des nouvelles que vous nous avez envoyée sur le padlet Bonnes nouvelles à lire

Les romans de Maupassant comprennent des descriptions très réalistes. Ses livres sont souvent pessimistes. Il meurt à un peu moins de 43 ans des suites d'une syphilis.

Le genre littéraire du Papa de Simon est la nouvelle réaliste. C’est un récit court et vivant qui a été écrit en français.

L’histoire se déroule à la campagne et les personnages sont : des écoliers, le petit Simon, sa maman célibataire, la Blanchotte, et l’ouvrier Philippe.

Un jour, les enfants de l’école s’en prennent au petit Simon parce qu’il n’a pas de père. Leur comportement n’est que le reflet de ce que pensent leurs mères : la Blanchotte s’est livrée à un homme sans être mariée, et c’est honteux. Cette situation rend Simon très triste. Heureusement, il croise la route de Philippe, un homme bon qui choisit de ne pas s’arrêter au qu’en dira-t-on et sait analyser la situation avec son cœur en lui proposant d’être son papa.

La phrase du texte qui m’a le plus marqué est :

« - Vous savez... Simon... eh bien, il n'a pas de papa. »

Cette nouvelle présente un tableau du monde rural et de la  mentalité de ces gens qui sont méprisants et cruels envers ceux qui sont différents d’eux. Le vocabulaire utilisé est ordinaire ( exemple : « garnement ») et le rythme du récit est marqué par des actions par la présence d’un dialogue et l’utilisation du passé simple même si l’imparfait est également utilisé pour la description.

Les intentions de l’auteur sont faciles à percevoir.

Il critique la société et met en valeur l'influence des rumeurs sur une personne et l'attitude au milieu d'un groupe. Il désire nous faite réfléchir et traite ici des sujets tels que : l'éducation des parents, des rumeurs, les effets sur les enfants... Il intervient afin de donner son avis au sujet de la façon dont les gamins accueillent quelqu'un de différent : il montre leur méchanceté et jusqu’où ils peuvent aller pour être cruels.

Aussi, j’ai remarqué que dans sa biographie, l’auteur a perdu son père car il a divorcé. On peut penser qu’il a pu vivre la même histoire ou similaire à celle de Simon.

Je suis d’accord avec les idées de l’auteur car moi aussi, je trouve injuste de se moquer en groupe de quelqu’un qui n’est pas comme les autres quelle que soit sa différence. On ne méprise pas un enfant parce qu’il n’a pas de père.

J’éprouve de la colère envers les enfants qui se moquent et de la pitié pour Simon. Je serais prêt à l’accueillir dans mon groupe à l’école.

Aurélien, 4D

J’observe:

Guy DE MAUPASSANT est l’auteur de la nouvelle « le papa de Simon ». Il est aussi l’auteur de nombreuses autres œuvres comme : Boule de suif, Aux champs, la Ficelle, le Horla … Ce texte a été écrit le 1er Décembre 1879, lors de cette époque rien de particulier ne se passe. À l’origine cette nouvelle a été écrite en Français.

Je lis / J’écoute:

Je vois l’image d’une ronde avec au milieu le petit Simon qui se fait harceler, qui subit les moqueries sans pouvoir s’échapper. Je n’ai jamais vécu de moments pareil dans ma vie. Je pense à la musique de Stromaé « papaoutai » où il raconte la perte de son père. Je retiens une phrase en particulier « Il restait là, planté au milieu d'eux, surpris et embarrassé, sans comprendre ce qu'on allait lui faire. »

Je comprends:

Les personnages principaux sont Simon et Philippe Remy le forgeron du village. Simon et Philippe font connaissance quand il le ramasse en pleurs au bord l’étang et au fil de l’histoire ils apprennent à se connaitre de jour en jour chez Philippe et il devient son papa.

Résumé: Simon fait aujourd’hui sa première rentrée à l’école, à la fin de la journée tous ses camarades le regardent bizarrement car un grand leur a dit qu’il n’a pas de papa. Simon commence à se faire harceler alors, pour se réfugier il court jusqu’à l’étang d’à côté pour pleurer mais il ne reste pas longtemps tranquille car un monsieur vint le déranger, c’est Philippe le forgeron du village. Il lui demande pourquoi il pleut comme ça, Simon lui explique. Ensuite, ils se revoient tous les jours. Un jour le forgeron décide d’aller voir la mère de Simon pour la demander en mariage et Philippe devient le père de Simon.

Je réagis:

Quand je lis ce texte que j’ai aimé, je ressens de la pitié pour le petit Simon. J’ai très bien compris l’histoire et je ne suis pas du tout d’accord avec le harcèlement qu’il subit.

J’interprète:

Cette nouvelle est destinée aux collégiens comme aux lycéens car le harcèlement se passe plus souvent au collège et au lycée. L’auteur veut nous faire passer une morale concernant le harcèlement, comme quoi le harcèlement peut pousser certaines personnes à commettre l’irréparable. Ses intentions ne sont pas très faciles à percevoir mais on comprend très bien le texte.

Mahilde, 4B

J’observe

La nouvelle a été écrite par Guy de Maupassant. Je connais une autre œuvre de l’auteur qui est « Aux Champs ». La nouvelle à été écrite le 1er décembre 1879. Cette époque n’a pas été particulièrement importante. Ce texte a été écrit en français à l’origine. Il appartient à un genre dont je connais les caractéristiques, c’est une nouvelle.


Je lis/j’écoute

Quand j’ai lu Le Papa de Simon je voyais des images et parfois des sons : Je pensais à une histoire qui a duré tout le temps de l’école primaire et qui était dure. Je pensais aussi à des films d’actions. La phrase que je retiens est -"Vous voyez bien qu'il n'a pas de papa."

Je comprends

Les personnages principaux sont Simon, il fait son premier pas à l’école. Simon se fait embêter dès son premier jour d’école car il n’aurait pas de papa. Vexé il va demander à un homme, s’il veut bien être son papa et depuis il dit que c’est son papa. Blanchotte, la mère de Simon, on ne sait pourquoi, n’est pas aimée des autres femmes.
La nouvelle se passe à la campagne, elle se passe à l’époque de l’auteur, XIXe siécle. L’action commence dès la 2eme phrase.
Simon est un petit garçon qui vit seul avec sa mère (La Blanchotte), il n'a pas de père . Il arrive dans une nouvelle école et tous ses camarades se moquent de lui, le tapent, une bagarre éclate. Simon, va pleurer au bord de la rivière avec l'intention de se noyer . Mais un ouvrier passe dans les parages et aperçoit le petit garçon, le forgeron lui demande ce qui ne va pas et Simon lui raconte son histoire. Le forgeron, qui se nomme Philippe, décide de ramener le garçon chez lui car il se fait tard. Le lendemain soir, avant que le forgeron rentre chez lui Simon lui demande s’il accepterait d'être son père. Philippe, sans vraiment prendre la proposition de Simon au sérieux, accepte et lui dit de dire à tous ses camarades qu'il a un père et qu'il s'appelle Philippe. Le lendemain Simon arrive fier à l'école en disant à tout le monde qu'il a un père et que c’est Philippe Remi, le forgeron.


Je réagis

Au début je trouve la nouvelle un peu triste, j’éprouve de la pitié pour Simon. Mais après, Simon  partage sa joie.
J’ai très bien compris la nouvelle. Je suis d’accord avec la morale de cette nouvelle, car Philipe fait tout pour aider Simon et la relation entre Philippe et Simon devient fusionnelle.


J’interprète

Ce texte est destiné à tout le monde. Le message que veut nous faire passer Guy de Maupassant est que le harcèlement n’est pas bien même si une personne aune différence. Guy de Maupassant dans sa nouvelle m’a émue.

Lilou, 4B

1- J'observe

 C'est Guy de Maupassant qui a écrit ce texte. Il a été écrit le 1er décembre 1879. Ce texte est français. Il appartient au genre de la nouvelle.

2- Je lis/ j'écoute

Je pense à des images, à des sons.

3- Je comprends

Les personnages principaux sont le forgeron, la Blanchotte et Simon. L'action se passe à l'ecole et aussi chez Simon. Elle se passe la semaine.

Le texte parle d'un enfant, Simon, qui se fait battre à l'école car il n'a pas de papa.

4- Je réagis

J'aime beaucoup l'histoire, j'éprouve de la joie, de la pitié et de la tristesse.

5- J'interprète

Ce texte est destiné à tous les lecteurs et particulièrement aux papas. Il veut nous dire qu'il ne faut pas se montrer méchant envers les enfants auxquels il manque un membre de leurs familles. L'auteur émeut et nous fait éprouver de la tristesse.

Océane, 4D

 

 

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30 novembre 2016 3 30 /11 /novembre /2016 18:23

La nouvelle que j'ai écoutée a été écrite par Guy De Maupassant. Ce texte, d'origine française est intitulée « Boitelle » . Une phrase me parait intéressante : « Si je suis ordureux , c'est que mes parents m'ont opposé dans mes goûts, sans ça je serai devenu un ouvrier comme les autres. » Antoine, le père Boitelle est devenu ordureux car ses parents ne l'ont pas laissé faire  ses propres choix dans sa jeunesse. aujourd'hui il tient donc à laisser à ses enfants la liberté de leurs choix.

L' action se passe sur le quai du Havre, quand Antoine était soldat lorsque qu'il rencontra une jeune négresse. Au fil des semaines, ils firent connaissance puis tombèrent amoureux . Il voulut l'épouser mais il tenait à avoir l'accord de ses parents. Après les explications d'Antoine, ils acceptèrent de la rencontrer. Ils lui trouvèrent beaucoup de qualités mais, malgré l'insistance d' Antoine, refusèrent le mariage à cause de sa couleur. Après cela, Antoine n'a plus eu le cœur à rien et plus aucun métier ne l'intéressait. Il est ainsi devenu ordureux.

Aujourd'hui, il est marié et il a 14 enfants. Il n'aime pas son métier mais il le fait pour les nourrir. Il dit que sa femme l'a rendu heureux mais ce n'est pas pareil qu'avec sa négresse, il dit qu'il se sentait transporté par son regard.

En lisant ce texte, je ressens de la colère envers les parents d'Antoine car pour moi, la couleur n'est pas  le plus important dans la vie, c'est la personnalité qui compte. Je ressens qu'Antoine a beaucoup d'amour pour sa négresse et je suis triste pour lui car sa vie aurait été différente s’ il s'était marié avec elle.

En nous racontant l'histoire d'Antoine, l'auteur nous montre que  la différence n'empêche pas d'aimer et surtout que ce ne se sont pas les autres qui doivent décider à notre place. Ce texte est dédiée à Robert Pachon. 

Marie, 4D

« Boitelle » est une nouvelle écrite par Guy de Maupassant, ce dernier a écrit plusieurs nouvelles comme «  Aux champs » , « Coco » , « Le papa de Simon », « La rempailleuse »... Boitelle a été écrite le 22 janvier 1889 en langue Française d'origine.
Cette lecture m’a fait penser à des images de couleurs de peaux, j'ai imaginé cette histoire dans ma tête ,avec les images et les sons. Elle me rappelle une histoire vraie où un homme était amoureux d'une femme de couleur beaucoup plus jeune que lui . Elle me fait aussi penser à la musique de Pascal Obispo qui chante :"ROSA PACK"
Dans « Boitelle », le personnage principal s'appelle" Antoine Boitelle " c'est un homme grincheux qui raconte pourquoi il est  devenu ainsi .
En effet, c'est l'histoire d'un homme Antoine Boitelle qui est un homme à tout faire spécialiste des activités malpropres dans son village. Il est marié et a quatorze enfants. Il est toujours de mauvaise humeur et quand on lui demande pourquoi il est devenu comme ça, il dit que ses parents lui ont enlevé le goût de tout.
Il raconte sa jeunesse quand il était soldat au Havre, il était passionné par les oiseaux qui étaient en cages sur le port du Havre car ils revenaient des pays chaud (perroquets aras...)
Un jour qu'il regardait les oiseaux, il avait vu une négresse et était tombé amoureux. Il l'avait  présentée deux mois plus tard à ses parents car il voulait se marier mais avec l'accord de sa famille à lui car elle ,elle était sans parents. Les vieux avaient refusé le mariage car ils trouvaient la femme trop noire même si elle travaillait bien en cuisine avec la maman d'Antoine.
La négresse n’étant pas acceptée par la famille d'Antoine, ils avaient pleuré  tous les deux en sachant qu'ils ne pourraient jamais se marier et donc Antoine  avait ramené la femme au train ,et l’avait quittée pour toujours…

Je trouve au début l'histoire d'Antoine triste car il travaille très dur pour nourrir ses quatorze enfants et quand il raconte son histoire d'amour, cela me semble presque impossible. Mais il est émouvant et montre de la joie quand il parle de sa passion des oiseaux et de sa « négresse ».
J’ai très bien compris la nouvelle et je suis d’accord avec le narrateur : Antoine serait heureux s'il avait épousé la « négresse » même si il aime la mère de ses quatorze enfants mais c'est pas le même amour.

Ce texte est destiné à tout le monde. Le message que veut nous faire passer Guy de Maupassant est que la couleur de peau ne doit pas faire la différence . L'histoire m'a ému et touché.

Édouard, 4B

Présentation de la nouvelle:

Titre:: Boitelle.

 Auteur: Guy de Maupassant.

 Personnages: Antoine Boitelle.

                      La négresse (on ne sait pas son nom ).

                      Le père et  la mère Boitelle.

L’histoire:

 Cette nouvelle se passe au Havre, puis dans la campagne à Tourteville, au 19ème siècle.

Antoine raconte une histoire de jeunesse.

Quand il était soldat au Havre, il fit la rencontre d'une jeune femme à la peau noire.

Amoureux d'elle, il décida de la présenter à ses parents.

Mais à cette époque, la couleur de peau posait un problème.

Même si ses parents n’étaient pas contre, à cause de la pression des habitants, il renonça à l'épouser.

Mon avis:

Je pense que cette histoire est triste car elle parle d'un amour impossible. Au 19ème siècle, les gens ne voyaient pas d'un bon œil les personnes de couleur, ils pensaient que les blancs ne devaient pas se marier avec les noirs car ils croyaient qu'ils portaient malheur.

J'espère que ce genre d’histoire ne pourrait pas arriver de nos jours.

Ewen, 4D

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29 novembre 2016 2 29 /11 /novembre /2016 21:30

J’observe :

Le texte a été écrit par Guy de Maupassant. Je connais deux autres œuvres de cet auteur  « Aux Champs » et « Coco ». Il a été écrit en 1883. Ce texte est écrit en français à l’origine. Il appartient à un recueil de nouvelles, Miss Harriet.

Je lis / J’écoute :

Je pense au marché, à la ficelle, au portefeuille, aux personnages. J’ais choisi cet extrait : « Maître Hauchecorne, de Bréauté, venait d’arriver à Goderville, et il se dirigeait vers la place, quand il aperçut par terre un petit bout de ficelle. »

Je comprends :

Les personnages principaux sont : maître Hauchecorne qui est un paysan, maître Malandain qui est bourrelier, le maire, maître fortuné Houlbrèque, Marius qui est un valet de ferme ainsi que maître Breton qui est un cultivateur. Maître Haucheorne va être accusé du vol du portefeuille de maître fortuné Houlbrèque par Maître Malandain.

Résumé :

Maître Hauchecorne, un paysan, se rendait au marché de Goderville. En chemin il trouva un bout de ficelle et le ramassa. Dans un moment de la journée, on annonça que maître Fortuné Houlbrèque avait perdu son portefeuille et que celui qui le retrouverait était prié de le ramener à la mairie. Maître Malandain se rendit à la mairie et dénonça maître Hauchecorne. Celui-ci accusé de ce vol se défendait en disant qu’il n’avait pas ramassé le portefeuille mais de la ficelle. Le problème c’est que le maire ne le croyait pas. Un jour maître Breton ramena le portefeuille et dit que c’était Marius Paumelle qui l’avait trouvé. La nouvelle se répandit et tout le monde disait que maître Hauchecorne avait demandé à maître Breton de le ramener et de dire que c’était Marius qui l’avait trouvé. Maître Hauchecorne était déçu de cette réaction. Il racontait son histoire à tout le monde, sauf que personne ne le croyait. Il en n’avait assez. Mais début Janvier il mourut dans le d élire de l’agonie et en répétant cette phrase : « Une ‘tite ficelle… une ‘tite ficelle… t’nez, la voilà, m’sieur le maire »

Je régis :

J’ai bien aimé quoique ce fût un peu triste. J’ai compris l’histoire à part quelques mots difficiles à comprendre. Je ne suis pas tout à fait d’accord avec les villageois car Maître Hauchecorne, n’est pas pris du  tout au sérieux jusqu’à la fin.

J’interprète :

Ce texte est destiné à tous les lecteurs. Il veut nous dire que la rumeur part de peu de choses mais peut avoir de lourdes conséquences. L’auteur s’y est pris en provoquant. Ses intentions sont faciles à comprendre. On peut hésiter sur le sens du texte.  

Audrey , 4eD

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28 novembre 2016 1 28 /11 /novembre /2016 21:47

J’observe

Guy de Maupassant a écrit « Pierrot ». Je connais déjà du même auteur « Aux champs » et « Coco ».   « Pierrot » a été écrit en 1882. Cette époque est importante car c’est l’année où l’instruction laïque et gratuite est instituée par la loi Ferry.

Ce texte, écrit en français à l’origine, est une nouvelle.

Je lis/ J’écoute  

Et je pense à des images, à une en particulier ; Je m’imagine Pierrot avec sa description farfelue : « un étrange petit animal tout jaune, presque sans pattes, avec un corps de crocodile, une tête de renard et une queue en trompette ».

Je comprends

Que Mme Lefèvre, une dame de campagne, et sa servante Rose, se font voler des oignons une nuit. Un fermier leur conseille de prendre un chien pour veiller à leur maison. Mme Lefèvre, ne souhaitant pas dépenser beaucoup pour un chien, en adopte un gratuitement. Elle décide de l’appeler Pierrot. Les deux femmes s’attachent à la bête. Mais un jour, la dame de campagne a dû payer une taxe pour garder son animal. Ne voulant pas la payer car trop avare, elle décide de s’en débarrasser. Elle le jette donc dans une fosse. Regrettant vite son acte, elle demande au puisatier de la récupérer. Il accepte en échange de quatre francs. Toujours aussi avare, elle refuse. Mme Lefèvre et Rose se mettent donc à nourrir le chien tout les matins. Mais un jour, elles découvrent qu’un gros chien occupe la fosse avec leur petit chien. Le gros chien, plus fort que le petit, réussit à manger le pain réservé à Pierrot. Les deux femmes décident donc d’arrêter de le nourrir.

L’action se passe à la campagne, au XIXe siècle. Les personnages principaux sont Mme Lefèvre, Rose et Pierrot. Mme Lefèvre et Rose adoptent Pierrot pour veiller sur elles et leur maison.

Je réagis

J’aime beaucoup la nouvelle malgré la fin très triste quand Mme Lefèvre et Rose abandonnent le chien. J’ai compris l’histoire. Je ne suis pas d’accord avec Mme Lefèvre sur le fait d’abandonner Pierrot pour payer une taxe.

J’interprète

 L’auteur a écrit ce texte pour faire passer un message : il veut que les gens arrêtent d’abandonner leurs animaux de compagnie. Il s’y est pris en émouvant les lecteurs.     Ce texte est destiné à tout le monde ; le narrateur ne s’adresse à personne en particulier.

Loane, 4D

La nouvelle de Maupassant que j’ai écoutée s’intitule « Pierrot », il s’agit d’une histoire réaliste et noire .Je vais vous présenter cette nouvelle.

C’est l’histoire de Mme Lefèvre, une veuve bourgeoise campagnarde et de sa bonne Rose.

Un jour , la servante Rose remarqua qu’on leur avait volé des oignons dans le jardin. Madame Lefèvre affolée prévint ses voisins. Elle raconta donc toute l’histoire et les hypothèses envisagées. Un fermier lui suggéra d’acheter un chien pour se protéger des voleurs. Les deux femmes se mirent donc à la recherche d’un chien, un petit chien pour ne pas avoir besoin de lui donner trop à manger. Ils ne trouvèrent que des gros. Seul celui du boucher correspondait à leurs attentes mais il était cher. Un beau matin, le boucher arriva chez les deux femmes : il apportait avec lui un petit chien bas sur pattes. Il s’appelait Pierrot, elles le trouvèrent joli, quoique laid ,et l’adoptèrent. Pierrot demandait sans cesse à manger mais les deux femmes se dirent que quand le petit chien commencerait à bien connaitre la maison et ses alentours , elles le laisseraient se débrouiller tout seul pour trouver à manger. Mais Pierrot demandait tous les jours à manger et ne surveillait pas vraiment la maison.

Un jour Madame Lefèvre eut la visite des impôts. Elle se rendit compte que pour son chien il lui en coûterait 8 francs, ce qui  est fort cher. Elle prit la décision de se débarrasser de son chien en le conduisant  au piquet du mat .

Le piquet du mat était une carrière, une mine abandonnée où on jetait les chiens dont on voulait se débarrasser. Le soir venu, les deux femmes se rendirent donc au piquet du mat pour y jeter Pierrot.

Elles jetèrent le chien dans le trou noir et profond. Le pauvre Pierrot aboya toute la nuit… il jappa , jappa… Madame Lefèvre ne put dormir cette nuit là, en pensant au pauvre chien tout seul abandonné au fond du trou.

Le lendemain, Rose et sa patronne décidèrent de retourner voir Pierrot qui jappait en les entendant arriver. Prises de remords, elle allèrent chercher le puisatier pour récupérer le chien mais celui-ci coûtait fort cher, elles décidèrent donc de revenir chaque jour nourrir le chien en lui lançant du pain beurré, comme pour se faire pardonner.

Un jour quand elle arrivèrent : Pierrot n’était plus tout seul, un gros chien occupait l’espace du trou prêt à ne faire qu’une bouchée du pain beurré et sans doute même du fameux Pierrot…

Désespérées de ne pouvoir récupérer leur chien, les femmes convinrent de ne plus se rendre à la mine, de ne plus nourrir Pierrot et  l’abandonnèrent à son triste sort… !

 

Cette nouvelle m’a particulièrement ému, moi qui aime les animaux, je n’ai pas du tout aimé le sort réservé à Pierrot. J’ai éprouvé beaucoup de tristesse et de gêne à la fin de l’histoire surtout, en imaginant la fin terrible du chien.

Je pense que cette nouvelle fait réfléchir sur le sort que l’on réserve parfois aux animaux,

Peut-être que Maupassant voulait par cette nouvelle présentée comme un fait réel enseigner quelque chose à ses lecteurs, montrer ce que peut provoquer l’avarice par exemple.

 

Marc 4D

L’auteur est Guy de Maupassant et je connais une autre œuvre ses « Aux champs ».

Elle  a été écrite le 1er octobre 1882.

Ce texte est une nouvelle.

Cette histoire se passe à la campagne chez une veuve pauvre qui habite en Normandie au centre du pays de Caux. Un matin quand la dame se réveille elle s’est fait voler une douzaine d’oignons. À la suite des conseils du voisin, elle décide d’acheter un petit chien. Le boulanger lui ramène un petit chien nommé Pierrot. Un jour arrive la taxe pour les mammifères qui coûte huit francs, elle décide de jeter Pierrot dans un trou profond où d’autres animaux étaient passés et n’avaient  pas survécu. Mais maintenant qu’elle avait jeté Pierrot dans le trou elle y rêvait toutes les nuits. Elle demande au puisatier si elle peut le sortir mais ça lui coûterait cinq francs, elle ne voulait pas payer. Donc chaque jour elle allait lui donner  du pain. Un matin quand elle arrive devant le trou elle entend deux aboiements, elle est contente sur le coup, quand elle commence à lancer le pain elle entend Pierrot aboyer. L’autre chien le mordait pour saisir le pain alors la vieille dame et sa servante, Rose rentrent a la maison.

Je n’aime pas l’histoire car elle m’inspire de la pitié, parce que le chien meurt dans le trou.

Ce texte est dédié à Henry Roujon.

Pierre 4D

Ce texte a été écrit par Guy de Maupassant au XIXe siècle; je connais d'autres œuvres de cet auteur: Aux champs, Coco. Sa langue d'origine est le français et c'est une nouvelle.

C'est une nouvelle que j'ai écoutée et, dans ma tête, je voyais des images de petits chiens en train d'aboyer au fond d'un trou noir et sale.
Le texte parle d'une femme et de sa servante qui vivent paisiblement à la campagne. Mais, une nuit, quelqu’un s'introduit dans leur jardin et vole douze oignons, alors elles décident d'avoir un chien pour garder la maison et aboyer pour les prévenir lorsque des gens viennent chez elles. Elles adoptent donc un petit chien nommé Pierrot, mais il n'aboie jamais, à part pour réclamer à manger, et ne satisfait pas les attentes des deux femmes. Elles décident alors de s'en débarrasser mais personne n'en veut, donc elles prennent la décision de le jeter dans une fosse de vingt mètres de profondeur où, lorsqu’on veut se débarrasser d'un chien, on le jette. Elles s'exécutent mais les aboiements du petit chien une fois au fond du trou leur brise le cœur et, chaque jour, elles vont lui apporter à manger pour ne pas qu'il meure de faim. Mais, un jour qu'elles allaient voir Pierrot, elles s'aperçoivent qu'il y a un autre chien, un nouveau venu dans la fosse. Plus gros que Pierrot, il le dévore vivant.
L'action se passe dans un village de campagne.

Les personnages principaux sont Mme Lefèvre et sa servante, Rose. Elles se font voler des oignons et jettent leur chien dans une fosse. Il y a aussi Pierrot, un petit chien, qui se fait adopter, jeter dans une fosse de vingt mètres de profondeur puis dévorer vivant par un autre chien plus gros que lui.

Je ne sais pas si j'ai aimé ou pas cette nouvelle car je l'ai trouvé très triste et je suis sensible à tout ce qu'on peut faire aux animaux, mais d'un autre côté, je pense que Guy de Maupassant dénonce justement le mal qui leur est fait et je suis d'accord avec ça. J'ai compris ce texte. L'auteur émeut et ses intentions sont faciles à percevoir. Je suppose qu'il veut dénoncer le mal fait aux animaux.
Ce texte est destiné aux gens qui font du mal à ces derniers.

Margaux, 4B

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18 septembre 2016 7 18 /09 /septembre /2016 17:16
Mauvignier, Laurent, Continuer

Je viens d'achever la lecture de ce roman de Laurent Mauvignier, un auteur dont j'avais déjà présenté ici "Des Hommes"

Continuer est un roman très différent par son sujet mais qui lui aussi vous tient en haleine jusque la fin, laissant le lecteur s'interroger sur le sens de l'histoire qui mêle questions sociales, questions psychologiques, actualité et universalité jusqu'au dénouement.

Continuer est l'histoire d'un adolescent à la dérive, victime "collatérale" du divorce de ses parents. Et puis c'est aussi l'histoire du couple de ses parents qui se déchire. Et puis l'histoire d'une femme qui semblait avoir lâché prise depuis très longtemps et soudain rompt avec tout ce qui lui restait et part au Kirghizistan, à cheval, seule avec son fils. Enfin c'est l'histoire d'une blessure qui peine à cicatriser et contamine la vie. L'auteur semble tenir tous ces fils à la fois sans que l'on puisse saisir le lien avant la fin, une fin bouleversante.

Cela nous vaut quelques dialogues réalistes et peut-être un peu trop prosaïques, des scènes de tension où la communication semble impossible mais aussi des récits introspectifs où l'on peine à démêler rêve et réalité avant le dénouement et de belles pages poétiques qui nous transportent dans les lointains paysages de ce pays d'ex-URSS.

"Alors ce soir, ils montent encore et, après les futaies, après les arbres, une large plaine s'ouvre. Des yourtes apparaissent ici et là, de loin en loin, comme d'énormes champignons sur un sol herbeux. À chaque fois c'est plus ou moins la même histoire, alors ce soir non plus ils be sont pas surpris de voir venir à eux deux jeunes Kirghizes à cheval qui se précipitent et insistent, tout sourire, pour qu'ils viennent avec eux" (p 155)

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10 février 2016 3 10 /02 /février /2016 19:07

Tristan D…. A….                                                                                Le 3 Février 2016, QUINTIN

 

Cher Monsieur,

Je vous parle à travers cette lettre de votre livre « Lettres Persanes » qui est sans doute est un peu trop dur pour mon niveau de lecture, et cela m’a empêché de comprendre certaines scènes. Malgré la difficulté, j’ai compris quelques petites choses au sujet des personnages comme Usbek et Rica, les héros de cette histoire.

Je n’ai pas compris comment deux personnages très différents l’un de l’autre peuvent faire un voyage aussi long et dangereux surtout à l’époque de Louis XIV. Rica est plutôt un homme de savoir qui dans cette aventure traite des domaines comme la politique, la morale, la religion, l’économie…Il échange des lettres avec Roxane et compare les activités et la façon de vivre des femmes d’Orient et d’Occident.

Rica lui prend une route différente mais je n’ai pas compris ce qu’il avait fait. Je n’ai pas pu m’identifier par rapport aux personnages car le vocabulaire trop complexe compliquait la compréhension.

Pourriez-vous me faire une présentation qui soit plus accessible pour mon niveau de lecture ?

En espérant une réponse de votre part, je vous prie, Cher Monsieur, d’agréer mes salutations distinguées.

Un de vos lecteurs

Tristan D…A….

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27 décembre 2015 7 27 /12 /décembre /2015 12:27
Miraucourt Christophe, Surgi du passé

L'auteur : Christophe MIRAUCOURT

Le titre : Surgi du passé

L'éditeur : Rageot

La collection : Heure noire

L'illustrateur de la couverture : Lorenzo MASTROIANNI

Le genre de roman : c'est un roman policier

C'est l'histoire d'un jeune garçon qui s'appelle Arthur. Il vit seul avec sa mère car son père est parti vivre en Martinique lorsqu'il avait 2 ans, depuis il n'a plus de nouvelles de son père jusqu'au jour où il reçoit un message d'une inconnue au nom de Lina. Elle lui dit qu’elle est sa demi-sœur et qu'elle aimerait qu’Arthur l'aide à retrouver leur père journaliste qu'il ne connaît pas. Il accepte sa demande, le lendemain ils ont fait connaissance et ont décidé de mener leur enquête ensemble. Au bout de quelques jours, ils pensent que leur père a été tué. Ils ont retrouvé l'ordinateur portable de leur père et ont trouvé une adresse. Ils s'y rendent le lendemain. Ils découvrent du sang, un portable qui est celui du père de Lina et d’Arthur, un couteau et deux personnes au sol. Ces deux personnes se sont relevées puis la police est arrivée. Lina est montée à l'étage, il y avait une fenêtre ouverte et quelqu'un avait sûrement été ligoté. Ils finissent par trouver que leur père faisait une enquête sur un site de rencontre. Lina et son frère retrouvent leur père. Il a fait une proposition à ses deux enfants : oublier les erreurs du passé et recommencer tout depuis le début. Arthur est d'accord pour rattraper le temps perdu mais à condition que Lina accepte aussi la demande de leur père. Lina l'a donc acceptée.

Le père de Lina vit en Martinique avec Lina et sa femme qui est la mère de Lina. Il est aussi le père d’Arthur. Mais eux ne le savent pas encore, sauf quand il disparaît et que Lina trouve son ordinateur portable, elle décide de fouiller dedans, elle va donc rejoindre Arthur pour annoncer la nouvelle qu'elle vient d’apprendre ainsi que lui demander de l'aider à retrouver leur père. Elle mène sa propre enquête avec son frère. Ils sont persuadés que leur père n'est pas un assassin et ils découvrent que leur père a été accusé d'un meurtre alors qu'il devait enquêter sur un site de rencontres. Grâce à cette histoire, Arthur et Lina ont décidé d'oublier les erreurs de leur père, pour rattraper le temps perdu.

Extrait choisi : « Je suis arrivée en métropole hier. Ça te dirait d'aller boire un verre quelque part ?

Elle se moque de moi ? Perplexe, je jette un coup d’œil en direction du bus qui vient d'arriver.

-Je te raccompagnerai, propose-t-elle en désignant la voiture sur laquelle elle est appuyée.

-Elle est à toi ?

-Non, à mon oncle. Je squatte chez lui pendant mon séjour ici.

Décidément, elle a réponse à tout. Je ne sais pas pourquoi, mais j'ai une envie furieuse de la croire.

La curiosité l'emporte. Je ne suis impatient de savoir ce qu'elle me veut.

-Il y a un café à deux pas d'ici.

On s'installe à une table isolée. Il n'y a pas grand monde ; à peine une dizaine de clients. Lina commande un Coca, moi un Sprite. Une fois que nous sommes servis, je pose la seule question qui m’intéresse.

-Comment as-tu eu la photo que tu as postée sur ma page ?

Lina prolonge ses yeux dans les miens. Son visage ne sourit plus. Après un instant de silence, elle lâche :

-Je suis ta sœur.

Je pars d'un grand éclat de rire. Je m'attendais à tout sauf ça.

-Plus exactement, je suis ta demi-sœur, rectifie-t-elle en me défiant du regard.

Je redeviens brutalement sérieux.

-Mon père est parti de la maison quand j'avais deux ans. Alors même s'il avait refait sa vie tout de suite, tu serais née neuf mois plus tard et tu aurais quatorze, quinze ans. Pas dix-neuf ans.» (pages : 13,14,15)

J'ai choisi ce passage car Arthur ne s'attend pas à ce que va lui révéler Lina. Grâce à cette aventure il a pu revoir et garder contact avec son père.

Je trouve que l'illustration de couverture est sombre. Il y a deux personnages, elle représente le passage où Lina et Arthur découvrent les deux personnes au sol et montent à l'étage.

J’ai trouvé le livre bouleversant car cela doit lui faire bizarre d'apprendre à quatorze ans qu'il a une demi-sœur de dix-neuf ans, touchant car grâce à Lina, Arthur a pu appendre qu'il avait une demi-sœur et la connaître, merveilleux car il a pu aussi recréer des liens avec son père, captivant car on a toujours envie de lire la suite, facile à lire et à comprendre.

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